Mais oui, je suis une girafe M’a raconté la tour Eiffel. Et si ma tête est dans le ciel, C’est pour mieux brouter les nuages, Car ils me rendent éternelle. Mais j’ai quatre pieds bien assis Dans une courbe de la Seine. On ne s’ennuie pas à Paris. Les femmes, comme des phalènes, Les hommes, comme des fourmis, Glissent sans fin entre mes jambes Et les fous, les plus ingambes, Montent et descendent le long De mon cou comme des frelons. La nuit, je lèche les étoiles. Et si l’on m’aperçoit de loin C’est que très souvent j’en avale Une sans avoir l’air de rien.
Le présent de l'indicatif - 1er groupe - Ecrire la terminaison du verbe • Série
1 - Carnaval de Venise Consigne : complète la terminaison des verbes du texte. Les verbes seront écrits au présent de l'indicatif.
En ce moment, nous assistons au carnaval de Venise.
Nous regardons défiler de somptueux personnages vêtus de costumes colorés.
Les personnages du passé ressuscitent le temps d'une promenade en gondole.
Les concours des plus beaux costumes animent la place Saint-Marc.
Une foule immense admire le défile.
Chaque année, l'événement attire des milliers de visiteurs du monde entier.
M’a raconté la tour Eiffel.
Et si ma tête est dans le ciel,
C’est pour mieux brouter les nuages,
Car ils me rendent éternelle.
Mais j’ai quatre pieds bien assis
Dans une courbe de la Seine.
On ne s’ennuie pas à Paris.
Les femmes, comme des phalènes,
Les hommes, comme des fourmis,
Glissent sans fin entre mes jambes
Et les fous, les plus ingambes,
Montent et descendent le long
De mon cou comme des frelons.
La nuit, je lèche les étoiles.
Et si l’on m’aperçoit de loin
C’est que très souvent j’en avale
Une sans avoir l’air de rien.