Voila les responses. Pose les questions. Utilise EST-CE QUE et l’inversion (verbe + sujet) 1. Julie a commencé à écrire son journal. 2. La famille Bertrand habite dans une banlieue parisienne. 3. Il va en France cette année. 4. Rouen se trouve à 120 kilomètres de Paris. 5. En été, Jean est allé à la mer avec ses parents. 6. Nous allons passer ce dimanche à la campagne. 7. Pierre Bertrand est fort en histoire. 8. Je connais cette jeune fille blonde. 9. Il y a beaucoup de nouveaux élèves dans la classe de Julie. 10. A midi, André va manger dans un petit restaurant près de chez lui. 11. Il y a des gâteaux au dessert, aujourd'hui. 12. Elle fait des courses au supermarché de son quartier. 13. Catherine a eu l'idée de faire un pique-nique. 14. Le père de Didier a changé de travail
Je ne suis pas très d'accord avec l'opinion (de lui) Oui, certains écrivains russes font un vraiment claire comparaison le bien et le mal, montrent les vies lumineuses et intéressantes de ses personnages qui sont toujours gentils et voient la différence entre les bonnes et les mauvaises actions, mais il y a des auteurs en montrant que la vie n'est pas toujours juste et une mauvaise personnage de sujet n'est pas toujours vrai mal, mais simplement son caractère dépend de l'éducation et des circonstances. Des auteurs comme Pouchkine, Tourgueniev, Dostoïevsky, ils font ses personnages avec le caractère peu attirant, mais dans les événements suivants, découvrent et expliquent sa décision et son comportement en changeant les pour le meilleur ou le pire. Je pense qu'il soit beaucoup mieux que décrire d'abord de homme bon sans développer son caractère. Mais, dans quoi il a vraiment raison, c'est que les gens ne sont pas immortels et leur ouvrages peuvent vivre très longtemps sans oublier aux générations en apportant son sens et son idée.